mercredi 20 octobre 2010

Les 45 ans et plus au travail, un atout?

Article d'Anaïs Chabot publié dans le supplément PME de La Presse du 19 octobre.

Faut-il que les employeurs engagent des personnes plus âgées, qui ont plus d'expérience?

Bonne question.

Ma réponse : «Les responsables de ressources humaines redécouvrent la pertinence des baby-boomers, constate-t-il. Ce sont des personnes expérimentées, capables d'assumer des responsabilités très vite, plus stables (leurs choix de vie sont déjà faits) et reconnaissante. Elle est très utile pour stabiliser une équipe plus jeune.»

Et la suite .

vendredi 15 octobre 2010

Encore la rencontre des générations

Entrevue avec Anaïs Chabot dans le supplément PME de la Presse du 13 octobre.

"Comment faire cohabiter les générations".

Ca donne ça :

Des baby-boomers en fin de carrière et une génération Y de plus en plus présente sur le marché du travail, jumelés à une génération X bien installée créent une nouvelle dynamique dans les PME du Québec. Alors comment faut-il s'ajuster aux comportements de ces différentes générations ? Quelle est la meilleure manière de les faire produire ensemble ?

Le milieu du travail est en pleine mutation. Les baby-boomers sont en fin de carrière et les jeunes veulent prendre leur place.

La cohabitation entre les générations n'est pas simple, autant pour les travailleurs que pour les patrons. Tout le monde doit donc s'ajuster.

Selon Jean-François Rougès, consultant au Groupe Forest et doctorant en management de l'Université Laval, les patrons doivent revoir leurs façons de faire.

(La suite ici)

Une autre partie de l'entrevue dans un court article : Le mentorat, la solution miracle ?

Le mentorat, soit un jumelage entre personnes issues de deux générations différentes, s'inscrit parmi les solutions envisagées dans les PME. Dans ce cas, le mentor, un babyboomer, prend sous son aile un jeune (mentoré) sans expérience significative de travail et le guide dans son apprentissage.

«Mais il ne faut pas juste mettre en place le mentorat, précise Julye Vézina, président de 45plusjob.com.et consultante en carrière. Il faut assurer un suivi. Il faut que de l'information complémentaire soit échangée. Il faut qu'il y ait une réelle relation entre les mentors et les mentorés.»

Cela demande une certaine adaptation de la part des entreprises, qu'elles ne sont pas nécessairement prêtes à faire. «Ce n'est pas encore un phénomène important, pour l'instant c'est plus une utopie qu'autre chose», estime Mme Vézina.

Pour Jean-François Rougès, du Groupe Forest, le mentorat est une excellente solution, mais pas une solution miracle.

(L'explication est ici)